
parfois les bras lourds de se tendre encore,
les branches si près du sol,
la conscience aigüe de ce qu’il ignore,
quel arbre serait-il, celui qui se traîne et supplie
parfois les bras lourds de se tendre encore,
les branches si près du sol,
la conscience aigüe de ce qu’il ignore,
quel arbre serait-il, celui qui se traîne et supplie
écrit ou proposé par Christine Simon
(site sous licence Creative Commons BY-NC-SA)
première mise en ligne le 10 octobre 2014
et dernière modification le mardi 10 octobre 2017
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