ce stupre expulsé, projeté sur la surface d’un marais,
toujours joint en moi, et sens
ces particules, lentes, descendues,
et restent sus, pendues, dans l’ère des territoires liquides
qui, d’une caresse un peu, trop, encore, consentie,
s’en boursoufflent et s’en tannent, coagulent et syntagment,
tu me flocules, dear patriot de toutes mes moitiés,
je, te flocule, chair aimantée de tes proximités.
