mille doigts spongent en lui, exaltation de la veine
la langue s’articule aux lèvres goulues
venues fondre sur la faille, eros
les peaux se tanent à temps, thanatos,
s’entièrent, gouleyantes,
vont mains augmenteuses, qui sonnent à tonne le corps,
éclair de pogne, la chaude parure,
la courbure fascine,
le volume enflamme,
quand écrase, le ventre, les spectres vont à l’ancre
lourd, lourd, attrape et advient,
et lucioles palpitent
sommet s’adonne, ânonne, long est le tour,
mais qu’à l’antre s’engouffre
sus, nie toujours, mais sens fonce,
la plateforme écartèle,
le volume éreinte,
à ré, toujours, frissonnent les peaux,
ce qu’atteste, témoignant, la rivière joyeuse
ne plus mettre de majuscules aux dieux

Messages
1. peau d’homme, 12 novembre 2014, 07:44, par Dominique Hasselmann
La courbe m’a fait penser à l’archtecture du Centre Pompidou-Metz...
Voir en ligne : http://hadominique75.wordpress.com