Avalanche de doutes sur moi, ça me jonche. Comme j’aimerais faire ma Duras dans son Eté 80, faire avancer le récit. Me dis qu’il faudrait sans doute me planter dans un pré au clair. Les tenseurs manquent-ils, pourtant, celui de la route essentiel, aller à see word, une double histoire se tisse ainsi, ça ne suffit pas, étoffer un portrait, en faire un récit, un tombeau, alternant avec la route, mais ne fait pas mon tour, passer du rapport sur elle et moi au rapport sur lui, mais aujourd’hui, ni ça, ni ça, rien n’apparaît clairement. Le dialogue, à remettre dans l’ordre. Et ce rythme qui avale tout sur son passage, le délicat trépasse, ce qui peut se penser de l’interstice par l’interstice, aussi, aller davantage dans le sens de ce qui s’écrit dans le passage du Keis à Keiskamma, à la fois chant et plus subtil. Et rajouter des strates de technique.
Imprimer le tout pour reprendre. Ça n’en finira donc jamais.
chen zhen
galerie perrotin
crédit photo christine simon
