abandonnée, tu erres dans le souterrain, tu sous-erres, le téléphone a sonné, il paraît que la matière est désordonnée, qu’on la triture sans respecter le protocole de fabrication, ou que quelque intrus en a changé le code, on devrait y remédier, mais tout ça en anglais, alors on s’interroge, le sibyllin à l’oral rappelle une nouvelle fois, on est quoi, un portique dont on se gausse, un désespoir à venger, nonobstant la candeur, tu n’attends plus, tu marches on verra, pas de lumière, tant pis, la croix et la bannière, ça creuse en soi toujours, mais qu’y faire.
