Le plasticien a placé les rayons d’une diaspora, un Portugal saignant son caoutchouc dans les reliefs du Minas Gerais, un Berlin de cristal rouge voguant vers les Amériques, des sillons de couleur croisent leurs drapeaux en grille d’Amazonie, les exils ont débordé le cadre avec des accents de franchise, que poser sinon soi dans l’altérité radicale, que jouer sinon sa teinte par-dessus l’écran noir et blanc, dans le rendez-vous avec le monde à claire voie d’humanité, la mire architecture le réel à la condition de son bord.
alberto simon
mire

Messages
1. les rayons d’une diaspora, 21 février, 17:16, par Dominique Hasselmann
On s’y perd ou l’on s’y mire, labyrinthe des indécisions ou vague-à-l’âme de la balade à l’aveugle (Borges toujours là). ;-)
Voir en ligne : Métronomiques