la forme te dort,
le long de la diagonale du sombre, tu retombes
la forme te mange,
le compas trace l’ovale à la croisée des deux cercles
la forme t’étrange,
et la lumière stroboscopique te révèle
les degrés d’angles obturés
la forme t’interdit,
poser des carrés où pas de losanges et ça hypoténuse
la forme t’irrupte,
tu déchires chaque matin des droites à larges heures
mais dans la géométrie euclidienne,
les L te déplient et l’isocèle te redresse
à l’abri des secondes, encore un instinct