Un signe familier, que met-on dans les replis du temps, la répétition d’instants d’inattention, le doute ou une priorité donnée à plus essentiel, ça que raconte le dos des bosses, la preuve qu’à plus fort que l’égo appartient le paysage mental, peut-être aussi une délibération du passé qui a marqué le sort de soi, et contre cela, on n’a pas lutté, on a juste choisi d’aller ailleurs, de prendre l’histoire dans le paquet cadeau de la vie et la vie dans le présent de l’histoire, résultat, au miroir le portrait caché de ce qu’on est, au fond, et qui n’appartient qu’au-delà des apparences. Et ça peut-être l’entêtement, le défi aussi, trouve-moi, là, debout dans mon être. Et dans le joyeux, son équivalence, l’inattendu d’une récompense, ça plume, ça chatouille, dans ce royaume, les ongles s’enfoncent, et on touche le sens.
Messages
1. dans les replis du temps, 17 mars 2020, 18:04, par Dominique Hasselmann
Le paysage ne serait-il là que pour nous faire réfléchir, penser, cogiter, s’interroger sur ce que nous faisons là, ou ici, sur terre, en somme, sur la colline ou dans la courbe de la route, avec le ciel pour témoin et le vent pour copain...?
Voir en ligne : Métronomiques