Départ pour Wellington, New Zealand, t’as croisé un copain au bar du théâtre, il en revient et t’entraîne vers le sud, tu suis le pilote dans sa traversée en ferry, vous roulez direction Christchurch, ça se passe mal, trop près de l’Antarctique, ça craint, heureusement après un démarrage un peu lent lié aux séquelles de l’earth quake, les travaux sont en bonne voie dans la ville, prise en charge par les bulldo du pays, ça reconstruit, alors tu t’sens capable de prendre le van et de rouler solo, pour remonter vers l’île du Nord, plus chaude, tu te cherches un soleil sur la plage de Karekare, rappel d’un riff au piano, mais fait trop froid, alors c’est sur une balançoire dans la péninsule de Whangaparaoa que tu kiffes enfin, et quand tu rentres à Auckland, tu te balades dans les rues à façades victoriennes en te disant que le pire est derrière toi. Te reste juste à faire un petit tour chez les Maoris, tu flippes de te faire chopper dans leur rituel folklorique, même si en principe pas de risques, c’est pas prévu à ce qu’on te dit. Mais quand t’atterris, tu t’promets qu’t’auras ton trip pour New Zealand, que tu prendras le créneau d’été et pour la beach le spot de Saint-Clair, farniente sur la plage, crawl et surf sur l’océan. Pour les soirées, retour à Auckland pour un bœuf dans les boîtes jazz downtown. Très peu pour toi l’opéra-rock qu’on y a joué en mars, tu préfères vraiment les Stones, même si t’as un faible pour Let it be du grand John, qui swing si bien la poésie.
plage de saint-clair
photo du site les plus belles plages de nouvelle-zélande
