dans l’obscurité,
le monde dessine des ondes magnétiques,
captant l’attente dans leur sinusoïde,
à l’écran s’écrit le contrepoint en flashs de lumière
sous l’abri surchauffé des pastilles de plastique,
et contournant la surface millimétrée,
un anneau de métal vient enfermer l’aiguille,
qui bat l’hectopascal sous sa loupe argentée
Quel niveau, la pression,
l’air est si lourd, quand rien ne respire plus
jiro nakayama
vide
galerie apdv
boulevard soult
hommage à yvon nouzille

