la sourde inquiétude devant le mont Eiger, après qu’il a éteint le soleil de sa masse et que la vallée meurt, à l’heure des chiens qui hurlent, la lecture suspendue quand l’homme traverse le pont et que le diable guette, comment on jette le livre, le cri dans la rue quand une auto s’arrête, des hommes et leurs visages avides collés aux vitres et on reste figée, ou au large des Scilly, tapie dans l’habitacle, quand fétu de voilier face à la grande muraille en vent de force cinq, et La nuit du chasseur, pour juste sa musique, qui hante longtemps après le souvenir qu’on en a

Messages
1. 15h58 (I), 5 août 2015, 10:01, par Dominique Hasselmann
Je me souviens des doigts
L.O.V.E.
H.A.T.E
Voir en ligne : Métronomiques