On ne connaît pas le sujet d’un livre qui vous prend, on croit écrire quelque chose et c’est quelque chose d’autre qui se dessine, et sur lequel on tombe quand on s’emberlificote, quand on voit qu’on s’emberlificote, qu’on ne comprend pas, puis soudain, l’encore rage de vivre, malgré tout, et tout ce qui permet de le faire, de se sentir vivante, que ce serait ça le sujet, et à cause de ça, vais devoir remanier, sais obscurément qu’un passage m’a alerté, l’histoire de la gyre, et bien avant autre chose, les promesses obscures, je crois, comment j’ai passé à la trappe des pans entiers de l’enfance, et s’il ne s’agissait que de ça, de l’enfance et de la jeunesse, et qu’on arrêterait là, à l’orée, peut-être
