la douceur du printemps à Marseille,
son soleil jouant dans un entrelacs avec les feuillages,
ses parfums du Parc Puget rebondissant dans les cascades,
ses immeubles Perret dans le Vieux Port,
son architecture rabibochée qui tombe sur la.e, faut-il dire, rade ou baie,
et puis la traversée,
l’arrivée à l’Estaque,
comment résister aux clichés,
ce qui en sauve sera pour toujours la découverte d’une petite, frémissant, s’époumonant, dormant, se pelotonnant, tétant, tentant à petits regards d’attraper les ombres, laissant affleurer quelques sourires, un être vibrant.