la traductrice demande, le « on » est-il singulier ou pluriel,
le « on » de ce texte est au singulier
un « je », le « je » caché du voyageur,
qui cherche l’autre absolu
et en devient étranger à lui-même,
ostranéité contagieuse,
qui aliène et enveloppe de douceur,
comme une escorte de soi qui préserve de l’ego
pour mieux accueillir l’hôte extime