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Le paysage urbain est une somme, on calcule, nombre de fenêtres, nombre de portes, et à l’intérieur, une probabilité.
Le nombre est une contemplation, une méditation, implicite dans l’espace.
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Le paysage urbain se compte, un tableau d’écolier en révèle l’écriture sympathique.
Se comptent les volets gris, se comptent les volets bleus,
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et là jusqu’à onze dans l’ombre d’un toit, il se trahit d’un double un.
Le paysage urbain aligne ses chiffres, compte-moi, semble-t-il dire.
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Qui compte un œuf compte un if, une date
ou une addition, une série, ce qui compte dans l’abstraction.
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vues de cadaquès
musée dali à figueras
crédit photo christine simon