beau savoir qu’il gite là, au fond de son val,
beau sentir qu’il y git bien souvent, à distance
y gît-il, la crainte du poème
quand l’espoir des mots insiste mais blanchit,
quand dans le huis clos se clôt de plus en plus le oui,
comment lutter contre le peu, l’empêcher d’envahir l’espérance
on ne peut que deux au Royaume d’Ithaque,
et personne n’est quelqu’un si dans les doigts ne brodent
la litanie qui pointe et dans le fil noué les cordes qui frémissent,
que des pensées unissent
la blanche est bourdonnée, mais si pas de fumée,
l’âme s’épuise à tenter ce qui ne se promet
quoi changé depuis lustres, quoi tenté qui ne soit d’in forma
pas de poignée où s’accrocher, inspiration qui n’es
et la mélodie pour aqua ne voit passer sur la portée
que la clef de soif ou la clef d’or,
jamais la peur d’à quoi, pour enivrer le rythme
si un signe d’origine grimpait au firmament,
que soprano, la voix, et qu’on en frémirait
Messages
1. poème cherche respiration, 18 février 2015, 18:57, par cjeanney
c’est beau
et aussi qu’on lise "pas de poignée où s’accrocher"
et qu’on entende "pas de poignée où s’adresser"
fait sens