jardin dévoré d’instants de friche,
le plan a cédé le passage,
on ne lutte pas contre la pousse sauvage des herbes et des fleurs,
migrant de spots en spots, et elle s’en donne à guerre par assaut des zones tranquilles,
elle gagne la bataille,
seule une chirurgie fatale pour structurer l’aire,
jusqu’où laisser le mouvement faire sa danse,
on joue avec le temps, contemplant son désordre