quelque chose de son quotidien assombrit le mien. Il m’a jeté la crainte comme on lance un os au chien ; désormais, elle creuse de discrètes cavités dans les heures de solitude, la légèreté finale échapperait-elle à nouveau, chaque fois tentée et toujours quelque chose, mais la profonde confiance, celle née des mains du magicien il y a longtemps, s’invite en moi, celle qui traverse les vents et les marées, ses vents et marées, comme transpercés de signes joyeux, de persistances heureuses, les dissolvant à coups de mélange non-acide, non, son histoire n’est pas inscrite là, il va faire le chemin, il l’a toujours fait, alors même si ça n’est pas facile, je place ma main sur son épaule et je pousse doucement